sábado, 18 de mayo de 2013

Le tatouage polynésien

Depuis toujours la valeur esthétique du tatouage a séduit les Polynésiens donc les Tahitiens. Chaque dessin a son signifié et représente une valeur ou une croyance différente (la tortue, par exemple,représente la longévité).


Le tatouage était une marque de beauté mais il était aussi une marque sociale. Plus on était important dans la société plus de tatouages on avait sur son corps. C'est comme ça qu'en voyant une personne on pouvait identifier son niveau social: c'était le roi le seul à avoir tout son corps tatoué (et les grands guerriers).

Pour tatouer, on utilisait des peignes en os ou en écaille de tortue aux dents aiguës, fixés à un manche. On posait cet instrument sur la peau et on l'enfonçait au moyen d'un petit maillet. On obtenait les différentes couleurs des fruits. 

Les tatoueurs avaient un catalogue des modèles reproduits sur des pierres, des sculptures en bois de bras ou de jambes, ou des bambous, pour que le client choisisse.

Pendant 150 ans, les tatouages ont été interdits par les religieux catholiques qui y étaient allés convertir les Tahitiens au christianisme. En 1970, le taouage est revenu avec force comme une affirmation d'identité culturelle et de nos jours, les dessins sont encore ceux qui marque la tradition bien que leur symbolisme social ait disparu.

Desde siempre, la estética del tatuaje ha seducido a los habitante de la Polinesia entre los que se encuentran los tahitianos. Cada dibujo tiene un significado y representa un valor o una creencia diferente ( la tortuga, por ejemplo, representa la longevidad).


El tatuaje era un signo de belleza pero también era una marca social. Cuanto más importante era alguien en la sociedad más tatuajes tenía en el cuerpo. Así, sólo viendo a una persona, se podía saber a que clase social pertenecía. Sólo el rey tenía todo el cuerpo tatuado (y los grandes guerreros).

Para hacer los tatuajes, se utilizaban peines de hueso o de concha de tortuga con las púas afiladas, fijados a un mango. Se ponía este instrumento encima de la piel y se hundía en ella golpeando con un pequeño mazo. Los diferentes colores se obtenían de las frutas.

Los tatuadores disponían de un catálogo de los modelos de tatuajes tallados en piedras, en esculturas de madera en forma de brazos y piernas, o en bambúes, para que el cliente pudiera elegir.


Durante 150 años, los misioneros católicos que habían ido a convertir a los nativos prohibieron los tatuajes. En 1970, el tatuaje volvió con fuerza a estas islas como una afirmación de identidad cultural y, hoy en día, aún se utilizan los dibujos tradicionales aunque su simbolismo social haya desaparecido.



1 comentario:

Anónimo dijo...

muy chulo